• http://t1.gstatic.com/images?q=tbn:ANd9GcTQ7T2t0PHueCUcOKnCdAwdvlmrzXEHs4MGP_kDPTr_InKSX3rm

    http://www.lecoinbio.com/images/images/jardin/citation-article-biodynamie-2.png

     link

    On me pose souvent de nombreuses questions sur la biodynamie, bien connue en viticulture et en maraîchage, mais très peu connue en élevage.

    Pour commencer, il faut bien comprendre que pour tout biodynamiste, l'animal est placé au centre des préoccupations : il est considéré comme un serviteur qu'il convient d'accompagner par des pratiques adaptées dont voici les trois points fondamentaux : 


    1. Le concept d'organisme agricole diversifié et autonome

    Dans la deuxième conférence de son Cours aux agriculteurs, Rudolph Steiner affirmait qu'« une agriculture saine devrait pouvoir produire tout ce dont elle a besoin ». Ainsi, constituer un « organisme diversifié », le plus autonome possible sur le plan de la fumure, des semences et des fourrages constitue une des bases fondamentales de l'agriculture biodynamique.

    Conscient de la difficulté de mise en pratique, Steiner conçoit que cette recherche d'autonomie puisse se faire à l'échelle d'un territoire, sous forme d'une autosuffisance collective.

    L'introduction de la diversité dans le monde végétal (haies, bandes fleuries, arbres fruitiers, aménagement de zones de compensation écologique…) et les soins aux oiseaux et aux auxiliaires (nichoirs, points d'eau pour l'abreuvement et servant d'écotone, abris pour les insectes, présence de ruches…) sont indispensables pour créer des conditions d'équilibres.

    L'association d'un élevage d'espèces animales (bovins, porcs, volailles, abeilles, moutons, chevaux…) adaptées au lieu, tant en nombre qu'en diversité, mais aussi aux productions végétales (prairies, céréales, cultures légumières, arboriculture fruitière, sylviculture…) est essentiel dans une démarche d'agriculture biodynamique. Cela permet d'obtenir une fécondité naturelle pour l'agriculture, un tissu rural vivant et des paysages harmonieux.

     

    2. Le renoncement à toute productivité disproportionnée

    Pour l'agriculteur biodynamiste, il est souhaitable de rechercher un rendement qui soit en accord avec les capacités de l'animal car une trop grande productivité peut mettre en péril la santé des animaux et conduit à une rupture dans l'équilibre de l'exploitation agricole.

    Ainsi des bovins laitiers produisant entre 4 et 5 000 litres de lait peuvent se contenter de fourrages grossiers, dont la valorisation serait impossible sans leur action.

    Comme pour d'autres herbivores, ils permettent le transfert de fertilité entre les espaces non labourés et les espaces cultivés via leur capacité à digérer la cellulose.

    Les porcs peuvent transformer des déchets ou des sous-produits de transformation légumières, céréalières, ou laitières (Lactosérum), difficiles à valoriser par le compostage.

    En respectant leur caractère coureur dans leurs conditions d'élevage, les volailles consomment des graines et des insectes.

    Pour l'apiculture, les règles concernent en particulier la nécessité de laisser les abeilles exercer leur fonction cirière. L'essaimage naturel doit être la règle pour l'obtention de cellules royales et le nourrissage d'hiver doit être exclusivement effectué avec du miel.

     

    3. Le respect de l'intégrité physique des animaux

    Dans l'élevage bio-dynamiste, l'intégrité physique des animaux doit être respectée.

    Ils doivent pouvoir vivre et évoluer conformément à leur propre nature.

     

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  • Le coq, le reproducteur indispensable
    pour la fécondation de l'oeuf


    http://4.bp.blogspot.com/-1N6qRNn-E_0/TZIWdla1qNI/AAAAAAAAAH8/RZK1SO7dZ0k/s1600/Image3.png

     

    Là c'est un peu comme nous, sauf qu'il n'y a pas l'coup du zizi... Le coq se colle à la poule, trou contre trou. On comprend  que l'œuf, c'est l'ovule et il n'y a donc pas besoin d'un coq pour faire un œuf mais il faut un coq pour faire un poussin , comme il faut un papa pour faire un bébé....

    réf:

    Jambe de poule et cuisse de cochon


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  • http://ekladata.com/pIm68NucYL2YZzlprOqC9rw9KX0.jpg

     

    Comment les oeufs de poule se forment-ils ?

    Copyright W. Augel
    Quel bel oeuf ! Qu'ils soient peints, emballés de papier coloré ou fourrés de chocolat, les oeufs recherchés par les enfants ce matin ont tous cette forme ovoïde parfaite. Comment la poule parvient-elle à les former ?

    A l'âge adulte, la poule possède quelques milliers d'ovules appelés ovocytes. Chaque jour, un d'eux se développe jusqu'à devenir, en une dizaine de jours, le jaune dit vitellus. Le vitellus mûr est libéré dans l'oviducte, sorte de tuyau de 65 cm dans lequel l'oeuf se forme. En quelques heures, le blanc d'oeuf se forme autour du vitellus qui tourne sur lui-même pour maintenir le jaune au centre. Puis, les deux membranes coquillières sont élaborées à partir de carbonate de calcium que la poule stocke dans ses os et ses intestins. Les muscles internes de l'oviducte continuent d'agir pour faire tourner l'oeuf sur lui-même et uniformiser la coquille. Il ne reste plus qu'à colorer l'oeuf par des pigments contenus dans les sécrétions biliaires et l'évacuer par le cloaque. Cloaque qui sert aussi à recueillir le sperme du coq pour féconder le vitellus. Dans ce cas, l'oeuf pondu éclora en un poussin vingt et un jours plus tard.

     

    http://www.les-oeufs.com/pic/oeufs-de-poule480.jpg

     

     

    En France, 46 millions de poules pondeuses sont utilisées pour produire les oeufs ; la consommation moyenne est de 231 œufs par habitant et par an.

    Rapide topo
    de la vie d'une poule pondeuse

    Quel que soit le mode d'élevage, les oeufs éclosent dans d'immenses couvoirs. A l'éclosion, leshttp://www.l214.com/fichiers/images/legbatterij.jpg poussins sont triés : les mâles (qui ne pondent évidemment pas d'oeufs) sont éliminés, soit gazés, soit broyés. Les souches de gallinacés utilisées pour les élevages de poules pondeuses sont différentes de celles utilisées pour les poulets de chair (poulets élevés pour leur viande).

    Les becs des femelles sont alors épointés généralement au laser. Le bec est un organe très sensible des poules et cette opération est douloureuse. Elle permet ensuite de parquer les poules ensembles par milliers ou à l'étroit dans des cages en limitant un peu le picage et le cannibalisme.

    Les poussins sont élevés sans aucun contact avec leur mère, en groupes de quelques milliers d'individus tous du même âge : il n'y a pas de poules ou coqs adultes avec eux.

    A partir de 18 semaines, les poulettes sont placées dans les élevages de ponte.

    A une écrasante majorité (80%) elles sont enfermées dans des cages .

    3% des poules sont élevées en volière sans accès à l'extérieur, 17% sont élevées en volière avec accès au plein air (3% en bio, 3% en label rouge, 11% en plein air).

    Après une année passée à pondre, ce qui représente environ 300 oeufs pondus par poule, elles sont tuées dans un abattoir.

    Voir notre galerie photo "poules pondeuses"

     

    Gallus gallus

    Dans l'article 2 de la recommandation concernant les poules domestiques (gallus gallus) adoptée par le Comité permanent le 28 novembre 1995, le Conseil de l'Europe met en avant les caractéristiques biologiques des poules. Si ces caractéristiques étaient prises en considération, les élevages intensifs seraient interdits, ainsi que toute forme d’élevage en grands groupes.

    En finir avec les cages

    En 2012, la réglementation change : directive établissant les normes minimales relatives à la protection des poules pondeuses impose une modification de la taille et de l'aménagement des cages. Un changement bien peu généreux pour les oiseaux : l’espace disponible par poule augmente… de la surface d’une carte postale ! Il n’empêche que ces évolutions demandent un investissement important des éleveurs. Une fois l’investissement effectué (et partiellement financé par des aides publiques) les dépenses engagées serviront d’argument pour s’opposer à la remise en cause des élevages en batterie. C’est pourquoi il importe de se mobiliser maintenant pour éviter la pérennisation de ce type d’élevages. C'est le moment de réclamer la fin des cages !

    Vous pouvez passer à l'action en soutenant la campagne en cours incitant à supprimer des supermarchés les oeufs de poules élevées en cage.

    Je participe !

    Les alternatives

    Renoncer aux oeufs éviterait aux poules de se retrouver dans des conditions de vie régentées par la rentabilité... Choisir de ne plus consommer d'oeufs, c'est choisir de ne plus encourager ces élevages générateurs de souffrance. De nombreux sites proposent des recettes vegan.

    Si ce choix s'avère trop difficile, vous pouvez réduire votre consommation d'oeufs et être attentif dans vos actes d'achats en donnant votre préférence aux oeufs issus de poules élevées en plein air.
    Voir le marquage des oeufs et l'étiquetage

     

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  • GS_2e6097c094d250cf6df2eab8815f3ba7.png

    > Ce site est dédié aux amoureux de la nature et des animaux et des défenseurs de leurs droit inaliénables

    http://www.basilicetmirabelle.fr/wp-content/images/site/logo_faux_bioLA DEMARCHE BIO....................... DYMANIQUE

    Ce blog s'adresse à tous les passionés de galinacés et des défensseurs des animaux sous toute leurs formes libres ou en captivités,

     

    Militant écologiste de la premère heure, à 53 ans, j'ai toujours la même envie de partager mes projets et connaissances dans tous les domaines,

     

    En ce qui concerne ce blog il s'agit de réunir mes connaissances pratiques et théoriques engrangées depuis des années ou plus récemment auprès de grands spécialiste de la question avicole biologique dans le cadre de mon projet,

     

    Je vous donnerai les astuces pour réussir une futur exploitaion, petite ou grande en aviculture, mais certe pas semi industrielle comme je l'ai vu en Bretagne encore récemment,

     

    je suis un amoureux de tous les galinacés , poules, coqs, dindons, pintades, oies, canards et tous les animaux de la ferme et de la terre.

     

     

    Ecouter cette vidéo et vous comprendrez combien il est urgent de protéger l'animal avant de protéger l'homme

     

     

     


     La races avicoles normandes dans tout leurs états

     

        CAUMONT                 PAV ILLY                CREVECOEUR            GOURNAY          LE MERLERAULT  

    Fiche-Caumont         la-pavilly.jpg       crevecoeur-copie-1.jpg       Fiche-Gournay.jpg      Fiche-Merlerault.jpg  

        

     

           Duclair                                  Oie  Normande                                     Rouen clair   

     


     

          link

    TOUTE L'HISTOIRE DE FRANCE DE  LA VOLAILLES

    (merci Mr Bodin) & Jean-Claude PÉRIQUET link

      La Gournay                  

     

    http://www.poules-racesdefrance.fr/images/racez/poule_Gournay.jpg

    HISTOIRE

    Elle tire son nom de la bourgade de Gournay en Bray, en Seine Maritime. La Gournay fait partie du triptyque Gournay, Mantes et Houdan. Elles sont très proches géographiquement mais aussi par le cailloutage de leur plumage, tacheté blanc sur fond noir. On peut de fait leur concéder une parenté dès la deuxième moitié le XIXème siècle mais par la suite elles eurent une histoire et une évolution bien différente. Notamment quand la Houdan fut à son apogée, la Gournay manqua de disparaître, avant même la Première Guerre Mondiale.
    C´est une race sans histoire particulière, elle fut trouvée ainsi dans les fermes des pays de Bray, de Caux et un peu en Picardie. Sa notoriété resta très localisée et même si elle ne manque pas d´aptitude elle ne connut jamais l´essor et loin s´en faut de la Houdan.
    Elle faillit disparaître une deuxième fois après 1945. Au début des années 2000 diverses associations locales particulièrement actives (soutenant le patrimoine exceptionnel de races normandes dans de nombreuses espèces) l´ont intégrée dans un programme de sauvegarde et de réhabilitation. Cette récente prise de conscience fait qu´il demeure un important travail de sélection suite à sa longue période d´abandon.

     

          La Pavilly                 

     

     

    la-pavilly.jpg
    HISTOIRE
    Crèvecœur, Caumont, Pavilly trois races très proches géographiquement mais bien différenciées. La Pavilly est originaire du bourg du même nom, à proximité de Rouen. C´est une race ancienne, attestée dés le 18 ème siècle. Bien répandue à cette époque, elle disparut malgré tout vers 1880. Elle fut retravaillée en 1908, homologuée à la même date et présente dans les expositions avicoles. Elle fit les beaux jours du marché de Pavilly, en approvisionnant la ville de Rouen, de même que des foires normandes.
    Malgré ce regain d´intérêt, elle ne reprit jamais le même essor, les races asiatiques étaient passées par là, altérant les caractères de la race. Elle s´éteint à nouveau en 1940.
    On notera une fois encore que les débouchés et les filières économiques demeurent les meilleurs garants de la pérennité d´une race. Dés lors que celles-ci s´étiolent, leur devenir en est remis à des institutions bénévoles dont la vigueur dépend de celle de leurs animateurs. Il est à noter qu´en France, il n´y a pas de plan de sauvegarde d´ensemble des races avicoles à l´échelle nationale, faute de moyens, d´intérêts des pouvoirs publics, de relais structurés et puissants sur le terrain ?

     


    La Caumont                      


    http://www.poules-racesdefrance.fr/images/racez/poule_Caumont.jpg

    HISTOIRE

    Il y a peu d´informations sur la Caumont avant le début du XXème siècle. Elle doit son nom au bourg de Caumont l´Eventé dans le Calvados, où se tenait jadis un important marché aux volailles, on la trouvait couramment en Normandie et même au delà. Contrairement à certaines de ses voisines la Caumont ou Gélinotte de Caumont n´a jamais complètement disparu, même si elle a eu à souffrir des mêmes maux. Son originalité aura-t-elle était sa plus grande supportrice ?
    Elle est néanmoins devenue rare à l´issue de la Seconde Guerre mondiale et le demeure de nos jours. Les différentes associations ou club pour la préservation des races normandes ont su et pu la maintenir à flot. Son avenir principal résidant à date, dans le potentiel d´élevage de l´aviculture de loisir.

     

    
                La Crèvecœur                   
    
     La Crèvecœur
    

    HISTOIRE

    C´est une des plus anciennes races françaises. Elle serait issue de sujets proches de Padoue en Italie (poule à huppe), qui furent importés en Belgique, puis se répandirent en France au temps de Louis XI (1423/1483). 


    C´était une des races française les plus répandue en France à la fin du XIXème siècle et aussi à l´étranger. La mode de l´époque voulut qu´on exagérât la taille de sa huppe à des fins d´esthétique ce qui handicapa grandement l´animal dans sa recherche de nourriture mais aussi dans sa protection vis à vis des prédateurs. Les modes de production extensifs d´alors ne convinrent plus à l´animal qui, on peut l´estimer, fut rejeté par la frange agricole. Elle périt d´avoir été « trop belle » de même que par l´importation de races étrangères plus performantes. Elle disparut au milieu du vingtième siècle.

     

     

    La Canard Duclair              

    
    Fiche-Duclair-copie-1.jpgcanards de Duclairduclair
    
    
    

    HISTOIRE Canard originaire de Normandie, il porte le nom d'une ville de cette région. Il est issu de canards régionaux ; son standard a été établi le 11 novembre 1923. Cependant, dans plusieurs pays européens, des races semblables sont reconnues sous des noms différents, comme le canard belge de Termonde, le canard Suédois et le canard de Poméranie (Allemagne). Ce qui est normal, car on obtient facilement des canards noirs à bavette blanche par croisements de canards genre Rouen et de canards noirs ou blancs. Il faut ensuite sélectionner les canards pour obtenir des sujets conformes au standard. Le canard doit peser 3 kg, la cane 2,5 kg, les œufs 70 g ; coloris de la coquille régulier, plutôt vert à bleuâtre. Adresses : J  C E P B C N = Conservatoire pour l'Elevage et la Préservation de la Basse Cour Normande 
    Jean Marie DE LAUNAY -
     normandy@club-internet.fr J  Conservatoire des Races Normandes et du Maine, Le Maître Pierre, route de Campigny, 14490 Le Tronquay J  Club des palmipèdes normands, Marie Dominique GIARD, Manoir du parc, 50580 St Lo d'Ourville
    
    
    
    Le canard de Rouen clair ou foncé 
    

    HISTOIRE

    rouenclair 

    Le canard de Rouen est une race de canard élevé en Normandie depuis de longue années. Il est issu de la sélection du canard colvert en vue d'augmenter son poids. On distingue le Rouen clair du Rouen foncé, celui-ci étant issu de la sélection du premier par les éleveurs anglais.

    Le canard Rouen clair

    Le canard de Rouen clair est issu de l’amélioration du canard Colvert par la sélection. Cette sélection débuta dans la région de Rouen à la fin du xixe siècle, aboutissant sur des canards d’environ 3,5 kg. Mais il fut très rapidement supplanté par d’autres races. De 1910 à 1920, sous l’impulsion d’un éleveur nommé René Garry, né le 5 octobre 1878 à Rue (80), l’amélioration de ce canard est reprise avec des croisements avec le canard Colvert. On obtint des animaux de 4,5kg. Le standard de la race est adopté en 1923. La cane pond des œufs à coquille verdâtre très claire, au minimum de 80g. Le Rouen clair est apprécié pour sa chair savoureuse. C’est un de nos meilleurs canard de rapport.

    Le canard Rouen foncé

    Il est issu de la sélection du canard Rouen clair par des sélectionneurs anglais. Il en diffère par son coloris plus sombre. Il se déplace plus difficilement et plus lentement. La cane pond des œufs de 80g minimum à coquille verdâtre avec des nuances diverses (blanchâtres, bleuâtres), La cane et le canard pèsent respectivement 3 et 3,5 kg.

     

     

     

     

     

    La Négre soie ou la meilleure couveuse au monde 

    HISTOIRE: link

    Poule angora appelée Négre-soie dakota-poule-negre-soie--poussin-et-adulte.jpg

    A - GÉNÉRALITÉS

    Pays d'origine : Naine d'origine asiatique très familière. Son plumage particulier, la couleur de la crête. du visage, des barbillons, des oreillons ainsi que leur belle huppe forment un contraste saisissant. Très bonne couveuse, très bonne éleveuse, elle est surtout recommandée et utilisée pour couver les œufs de faisanes. La race naine, parfois dite "ultra naine" a été créée en Hollande.

    Oeufs à couver : 25 g, Coquille teintée.

    Diamètre des bagues : Coq : 12 mm, Poule : 12 mm.

    Masse Idéale : Coq : 600 g, Poule : 500 g.

    B - TYPE ET BUT RECHERCHÉ

    Sujets avec un plumage abondant, soyeux, mou. Structure de la plume d'un aspect duveteux, hampe et barbes très molles et non dures et rigides. Face, ornements de la tête et la peau très foncées. Les quatrième et cinquième doigts ainsi qu'une huppe régulière sont les caractères particuliers à cette race.

    C - STANDARD

    COQ

    CORPS : Court et large, aux contours bien arrondis. Couleur de la peau bleu noirâtre.

    COU : Court, camail abondant couvrant les épaules.

    DOS : Concave, court, s'élevant progressivement vers la queue.

    POITRINE : Large, profonde, pleine et bien arrondie.

    ABDOMEN : Bien développé.

    AILES : Courtes, larges, légèrement collées au corps et portées hautes.

    QUEUE : Portée assez haute, courte et large, rectrices et faucilles peu développées.

    TÊTE : Courte, arrondie.

    HUPPE : Prend sa naissance derrière la crête. Composée de plumes dirigées vers l'arrière.

    FACE : Bleu noirâtre.

    CRÊTE : Coussin de chair, plus large que long, garnie sur la surface d'épines et traversée par un sillon transversal. Sans éperons. Couleur rouge noirâtre foncé.

    BARBILLONS : Petits, arrondis, texture fine, couleur bleu noirâtre.

    OREILLONS : Petits, plutôt ovales que ronds, de couleur bleu turquoise.

    BARBE : Admise, pleine, non divisée, couvrant barbillons et oreillons.

    BEC : Court et pointu, bleuâtre.

    YEUX : Grands, aussi foncés que possible.

    CUISSES : Courtes, cachées dans le plumage.

    TARSES : Courts, cinq doigts, emplumés de plumes courtes vers l'extérieur jusqu'aux doigts externes. Couleur bleu foncé.


    LA POULE

    Les caractéristiques de la poule sont les mêmes que celles du coq, mais à caractère féminin. La tête est petite, arrondie et  porte une huppe ronde légèrement aplatie, et pas trop grande. Les barbillons sont bleuâtre et plus courts que chez le coq. Le corps est large et court, la selle large avec coussins abondants. La queue, portée relevée, est courte, large et pleine.

    PLUMAGE :

    Abondant, soyeux, mou, y compris, les plumes du camail et de la selle.

    NOTA :

    En raison de la création récente de la race naine, l'indulgence est de règle pour les défauts de crête jusqu'en 1998.

    D - COLORIS DU PLUMAGE

    Toutes les variétés peuvent exister avec ou sans barbe (voir observations dans le standard de la Nègre soie grande race, ci après).

    VARIÉTÉ BLANCHE

    Léger reflet pailleux toléré 

    VARIÉTÉ NOIRE

    Noir intense.

    VARIÉTÉ BLEUE

    Parure du coq plus foncée que le corps.

    VARIÉTÉ PERDRIX (parfois dite "SAUVAGE")

    C'est un coloris perdrix soutenu. Tête et huppe noires avec quelques plumes brunes tolérées. Quelques taches brunes tolérées dans la poitrine du coq.

    VARIÉTÉ GRIS ARGENT

    COQ : Tête et huppe gris noir à noir, petites taches gris clair tolérées. Camail et lancettes gris argenté avec rachis des plumes foncé. Poitrine, dos, épaules et ailes sont de couleur grise avec présence possible de petites taches gris clair ou noirâtres. Queue et emplumage des pattes gris noir à noir. Ventre, cuisses et sous plumage gris.

    En Angleterre existe une variété de Nègre soie nommée "GOLDEN" (ce qui se traduirait par doré alors que les Anglais nomment "black red" ce que nous appelons doré). C'est en réalité une FAUVE HERMINE, parfois présentée en France sous le nom de FAUVE (ce qui est une erreur la couleur fauve ne comportant aucune marque noire). Cette variété n'est pas homologuée en Europe continentale mais le sera peut-être un jour.

    E - DÉFAUTS GRAVES

    Plumage raide, pas assez soyeux, dur ou trop court. Absence de huppe; huppe penchante ou trop fuyante en arrière chez la poule. Crête autre que celle décrite. Crête, barbillons ou face rouge. Poitrine étroite, plate ou pointue. Corps trop long ou étroit; dos long ou incliné. Couleur de peau claire. Ailes tombantes. Faucilles trop longues. Queue portée droite. Absence de cinquième doigt ou mauvaise structure des quatrième et cinquième doigts. Tarses non emplumés. Jarrets de vautour. Yeux trop clairs. Croisement entre variétés barbue et non barbue.

    Une légère protubérance crânienne est tolérée mais la huppe ne doit pas être exagérée en taille et jamais masquer les yeux.

     HISTOIRE

     

    Le Merlerault de

    l'Orne

     

    Seule représentante du département de l’Orne, la poule de Le Merlerault, pourrait s’apparenter à une cousine
    pratique de la poule de Crèvecoeur. Son aspect et sa localisation géographique ne permettent quasiment aucun doute sur les origines très liées de ces deux variétés de volailles. D’ailleurs, les auteurs avicoles anciens comme les généticiens actuels classe la Le Merlerault dans les races du groupe « néerlando-normand ».



    Nommée pendant très longtemps « Merlerault » voire « Merleraux », la dernière version du standard de la Société Centrale d’Aviculture de
    France tranche définitivement : c’est une « Le Merlerault » du nom de son village d’origine dans l’Orne ; en effet, cette petite bourgade porte le nom de ses seigneurs, les « Le Merle »,
    cités dès le XIème siècle. La réputation de cette région est toute tournée vers l’élevage du cheval. Au moyen age, les Montgomery y possédaient un haras. Sully et Henry IV y créèrent le Haras du Roi, abandonné après la création du Haras du Pin tout proche. Enfin, Le Merlerault abrita les ancêtres de Sacha Guitry.

    L'OIE NORMANDE  
    HISTOIRE




    LES ORIGINES DE L'OIE NORMANDE

    L’oie normande est une race autochtone, typique de la Normandie. Elle présente 2 qualités spécifiques : sataille bien développée et la coloration différente du plumage des deux sexes (le mâle est blanc alors que la femelle est grise & blanche).

    A l’origine, l’oie normande était surtout répandue dans la Manche, puis elle a conquis le reste de la Normandie grâce à sa chair dense et exquise. Au début du XXe siècle, la qualité gustative de cette race était connue jusqu’en Angleterre : de Cherbourg, des troupes entières d’oies soigneusement élevées partaient pour le «·Christmas·» anglais.

    SES CARACTÉRISTIQUES

    UNE OIE D'HERBAGE. L’oie normande est une race connue pour sa rusticité et sa facilité d’élevage. Grosse consommatrice d’herbe, la finition de ces oies peut se faire avec des pommes : le plus grand plaisir des oies normandes est de consommer les fruits véreux qui tombent avant les autres en automne. 
    Ainsi, c’est un élevage qui peut s’intégrer facilement dans des exploitations ayant un verger à valoriser.
    On peut élever jusqu'à 60 oies/hectare, durant l'été, et 20/hectare, en hiver.

    UNE PRODUCTION SAISONNIERE. La production d’Oie Normande est saisonnière, la période de ponte ne dure que 3 mois, de mars à fin mai. Elles sont prêtes à consommer au moment des fêtes de fin d’année. Un atelier de production d’Oie Normande peut permettre aux exploitations d’agrandir la gamme de produits au moment des fêtes.

    Bonne tondeuse écologique en été, complément de revenus

    UNE EXCELLENTE OIE A ROTIR. L’Oie Normande fournit, du fait de sa grande consommation d’herbe, des rôtis peu gras. Ce n’est donc pas une oie de production de foie gras, elle constitue plutôt une volaille à rôtir (2.5 à 2.8 kg prêts à cuire). Sa chair est excellente. Cette oie est également intéressante à déguster en terrine.

     

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    Dont la date de réalisation est prévue l’automne 2013

    La terre « appartient » à celui qui la cultive

    « Donnez de la terre aux poules et un poulailler »

    Appel à souscription

    Part 15 € minimum

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    VOLET À CONSERVER

     

    Offre valable jusqu’en janvier 2050

     

    Bon de souscription

     

    But:

    Vous serez alors souscripteur de notre projet, et participerez ainsi au financement indépendant d’une réalisation et création écocitoyenne


    Fraternité, Solidarité, Liberté !

     

    Les sommes récoltées serviront à aider l’auteur au financement de la réalisation de l’achat des volailles de races Françaises, la fabrication des poulaillers et des équipements. Ensuite la création d’un conservatoire des races Françaises

     

    ***Originalité du projet étant que vous devenez destinataire d’un volatile en fin de cycle de vie

     

     

    Avantage :*** les 100 premiers souscripteurs auront le choix d’une race de souche.

     

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     Créateur d’utopie

     Liberté, Démocratie, Autogestion, Économie sociale et solidaire

    " participerez ainsi au financement indépendant d’une réalisation et création écocitoyenne"

    Je me disais cela ce matin, en lisant un article et en corrélation avec mon projet et bien je ne suis pas le seul à le penser Merci Mr Pierre Thomé je vais souscrire à votre livre

    ps: c'est idée nous les défendons depuis les années 70

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    La diversité des animaux domestiques est en péril

    Selon un rapport FAO/PNUE, 1 350 races de mammifères et d'oiseaux risquent de disparaître


       

    Ovin de race Suomenlammas (Finlande)

    Bovin de la race sénégalaise 

    Cheval de race Sunicho (Bolivie)

    La bonne nouvelle est que nous connaissons mieux que jamais la biodiversité des animaux domestiques dans le monde. Cette dernière décennie, la FAO a contribué à rassembler des données provenant de quelque 180 pays concernant presque toutes les races de mammifères et d'oiseaux domestiqués dont le nombre est estimé à 6 500 : bovins, chèvres, moutons, buffles, yaks, porcs, chevaux, lapins, poulets, dindes, canards, oies, pigeons, et mêmes autruches.

    La mauvaise nouvelle, c'est la dernière analyse de ces données faite par la FAO qui le révèle: sur les races d'animaux domestiques pour lesquelles il existe des données de population précises, au moins un tiers de celles-ci - soit un total de 1 350 - risque de disparaître, 119 ont été déclarées officiellement éteintes et 620 autres sont considérées comme éteintes. "Et encore ne s'agit-il que de chiffres probablement en deçà de la réalité", déclare Keith Hammond, chargé de la banque de données mondiales sur les ressources zoogénétiques pour l'élevage de la FAO. "Ces cinq dernières années, le pourcentage de races de mammifères risquant de disparaître est passé de 23% à 35%. La situation en ce qui concerne les races aviaires est encore plus grave, le pourcentage de races menacées d'extinction est passé de 51% en 1995 à 63% en 1999."

    WWL-DAD:3.Les perspectives de ces races d'élevage - et des agriculteurs qui en dépendent - sont de plus en plus sombres; on trouvera un exposé détaillé de cette situation dans la troisième édition de laListe mondiale de surveillance sur la diversité des animaux domestiques(FAO/PNUE), qui doit paraître ce mois-ci. Couramment dénommé WWL-DAD:3, ce volume de 726 pages fournit un inventaire détaillé des races domestiques dans le monde et dans chaque région, mettant en évidence celles qui sont à risque. Il constate que cette diversité biologique se perd à mesure que les pressions démographique et économique accélèrent l'évolution des systèmes agricoles traditionnels.

    "Le maintien de la diversité génétique animale permet aux agriculteurs de sélectionner les animaux ou de créer de nouvelles races afin de faire face aux modifications de l'environnement, aux menaces de maladies, à la demande des consommateurs, à l'évolution des conditions du marché et des besoins de la société, facteurs qui sont pour une large part imprévisibles," déclare Beate Scherf, qui a compilé les données de WWL-DAD:3. "La diversité génétique constitue aussi l'entrepôt d'un potentiel en grande part non testé - les espèces sauvages dont sont issues les races courantes, en particulier, pouvant détenir des ressources précieuses mais, à ce jour, inconnues qui pourront être utiles à l'avenir.

    La banque de données de la FAO présente de brèves descriptions des races qui pourraient disparaître dans la prochaine décennie:

    • Bovin de race yakoute(Fédération de Russie) - tolérants au climat glacial sibérien, ils sont aujourd'hui moins de 1 000
    • Ovin de race Namakwa Afrikaner(Afrique du Sud) - race créée par les Hottentots, hautement adaptée aux milieux désertiques
    • Ovin de race Blanco Orejinegro(Colombie) - observé à des altitudes allant jusqu'à 1 800m, bonne résistance générale aux hémoparasites, aujourd'hui moins de 3 000 têtes
    • Chèvre angora pak(Pakistan) - résistant aux maladies, tolérant à la chaleur, il ne reste plus qu'un seul troupeau dans une station de recherche gouvernementale
    • Ovin de race poméranienne à laine jarreuse(Allemagne) - résistant au piétin et aux parasites internes, il reste moins de 1 600 animaux

    Canard Khayan (Myanmar)

    Dinde mordorée (EU)

    "Races améliorées".Selon Keith Hammond, la plus grande menace pour la diversité des animaux domestiques est le transfert en masse de races adaptées aux systèmes de production à forte intensité d'intrants des pays industrialisés vers les pays en développement. "Nous estimons que 4 000 des races qui subsistent dans le monde sont encore appréciées des agriculteurs, mais que seules 400 d'entre elles font l'objet de programmes d'amélioration génétique - pour l'essentiel dans les pays industrialisés," déclare-t-il. "Les politiques de développement d'un coté et de l'autre sont toutes en faveur de l'introduction de ces races améliorées et vont à l'encontre de la survie des races locales. Les services d'insémination artificielle sont souvent gratuits et donnent accès aux agriculteurs locaux à des génotypes exotiques à des coûts inférieurs à ceux qui seraient appliqués pour l'insémination artificielle de races locales, si elle était disponible."

    Le choix des races est aussi influencé par les programmes de crédit, les taux de change, les prix à la production, l'inflation et les taux d'intérêt. De nombreux pays accordent des subventions directes à l'achat des produits d'alimentation animale et d'autres intrants - ce qui tend à favoriser les races exotiques- et des subventions indirectes sur les facteurs de production, tels les combustibles et les engrais afin de produire des aliments concentrés.

    Il faudra peut-être des années pour que les agriculteurs, qui ont accueilli avec enthousiasme les "races améliorées", commencent à réaliser que la disparition des races locales est un problème grave. "Les races améliorées ont été principalement mises au point dans des environnements de production qui, par comparaison, ont une forte intensité d'intrants et des stress peu importants," fait observer Hammond. "Il devient évident qu'une grande partie, mais non la totalité, de cet effort major d'aide aux ressources génétiques animales a été déployé en vain. Les agriculteurs se rendent compte progressivement que ce matériel génétique exotique est en fait inférieur dans leur environnement local. Les structures de coûts très différentes, les pénuries de ressources en alimentation animale et les faibles capacités au niveau des techniques et de la gestion font que les animaux dans de nombreux pays en développement doivent survivre, se reproduire et produire pendant un nombre d'années dépassant celui pour lequel les races exotiques étaient conçues."


    Action de pays  Il sera demandé à plus de 180 pays de participer au premier Rapport sur la situation mondiale des ressources génétiques animales, que la FAO et le PNUE doivent publier en 2005. Le rapport fournira une évaluation globale de la diversité des animaux domestiques dans chaque pays. Il contribuera aussi à l'élaboration d'une stratégie mondiale pour la gestion des ressources zoogénétiques pour l'élevage et de la capacité de gestion des pays.

    Dans les pays en développement, les comparaisons fiables effectuées entre les races locales et les races exotiques sont très rares. Les essais sont souvent de courte durée et mal conçus, avec des biais importants en faveur des races exotiques au niveau de l'alimentation et de la gestion. Ils ne prennent généralement pas en compte la productivité du cycle de vie bien qu'il s'agisse d'un élément fondamental pour l'intensification durable dans les environnements de production à moyenne ou faible intensité d'intrants et à stress importants que connaissent les pays en développement. Les recherches comparatives sont souvent menées dans des environnements où les facteurs de production (alimentation animale, eau, lutte contre les maladies et gestion) sont très différents de ceux de la communauté agricole.

    Lacunes des connaissances.De fait, remarque Hammond, "notre niveau d'ignorance sur la très grande partie des ressources génétiques animales du monde" reste un obstacle majeur. "La très faible quantité de documentation technique disponible pour les prises de décision sur l'utilisation des races est un obstacle pour la bonne gestion des ressources génétiques animales dans la plupart des pays. Les communautés locales ont en général une connaissance approfondie des caractéristiques observables de leurs races mais il n'y a que très peu de données de recherche documentées pour environ 85% de l'ensemble des races et encore moins de comparaisons fiables entre les races."

    La valeur réelle de la diversité génétique n'apparaît peut-être pas comme il convient dans les choix actuels des races et des technologies qui y sont associées. "Les races qui utilisent des aliments de faible valeur, ou survivent dans des environnements difficiles, ou ont une tolérance, ou une résistance, à des maladies spécifiques, pourront réaliser des bénéfices importants en fonction des circonstances et de la rareté des ressources" estime Keith Hammond. "Il faut aussi tenir compte du coût complet du matériel génétique exotique. Celui-ci est souvent donné ou fourni à faible coût pour accélérer "l'amélioration génétique" dans les pays en développement - mais dans quelles perspectives de sélection ces progrès sont-ils réalisés ? Cette solution d'urgence de développement sera-t-elle durable?" Combien de ces 1 350 races d'animaux domestiques à risque auront-elles disparues avant qu'il soit enfin répondu à cette question?

    Publié en décembre 2000

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