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    LA GOURNAY

    18MAI

     La légende raconte que, peu de temps avant la révolution française, une paysanne brayonne avait recouvert ses poules blanches de suie noire afin que le seigneur local les confonde avec des corbeaux.

     Elle évita ainsi de payer la rente féodale. Quelques jours plus tard, la neige se mit à tomber sur le pays de Bray et découvrit par petites taches, le plumage blanc dissimulé. La race de Gournay était née

    Différentes thèses s’affrontent à propos des réelles origines de cette race ancienne. Si certains y voient le résultat d’un croisement entre une race asiatique et française, d’autres, beaucoup plus nombreux, pensent que la Gournay tient ses racines du groupe de volailles  » Néerlando-Normands « , la poule Orusthöna de suéde ( la ou l’année se divise en deux saison été et hiver)  y resemble étrangement, cela pourrai etre un « cadeau d’arrivée » des  invasions vinking … C’est avant tout une excellente race de ferme, très robuste, bonne pondeuse,

    Son plumage est  noir, caillouté de blanc. 

    http://assoperca.files.wordpress.com/2012/05/coq-et-poules-gournay-2.jpg?w=430&h=231

     

     

    La variété la plus répandue est à crête simple, mais elle existait en crête frisée.

    Le coq fait presque 3 kg (minimum 2,5 kg).

    La poule peut peser jusqu’à 2,5 kg

    C’est une race très vive qui exploite très bien son parcours où elle trouve une bonne partie de sa nourriture.

    Elle convient admirablement à tous les climats, n’étant jamais malade, car elle ne redoute ni le froid, ni la pluie, ni l’humidité constante. Elle s’adapte parfaitement à l’élevage libre. Elle peut, en effet, vivre entièrement dehors, n’ayant pour poulailler qu’un vieil arbre touffu.

    C’est une très bonne pondeuse qui peut aller jusqu’à 200 oeufs par an de 60 à 65 gr à coquille blanche .

    Les poussins de la race de Gournay s’élèvent avec facilité, ce qui en permet l’élevage sous les climats rudes du Nord, de l’Ouest et de l’Est.

    C’est, en somme, une poule pratique, convenant au propriétaire, au fermier voulant des oeufs et de la chair.

     

     

     

     

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  • Poule Coucou de Rennes

     
    Volaille fermière à deux fins :g_animal14 
    chair et œufs. Race très rustique à chair savoureuse, répandue autrefois dans toute la Bretagne. Doit son nom à son plumage barré, comme celui du coucou des bois et à son origine rennaise.
    La race doit sa survie à un petit cheptel retrouvé par l'Ecomusée du pays
    de Rennes en 1988.
    Poids du coq : 3,5 Kg ; de la poule : 3 Kg.

    Contact : Gros plan sur la Coucou de Rennes.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    http://www.feathersite.com/Poultry/CGA/CoucouDeRennes/CoucouDeRennesM.JPEG

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    http://www.feathersite.com/Poultry/CGA/CoucouDeRennes/CoucouDeRennesFlock.JPEG

     

     

    C’était une race autrefois très répandue dans la Bretagne et considérée comme bonne à tout faire, bonne pondeuse (guère moins que la Gauloise Bresse) et qui produit de beaux poulets. Les oeufs font 60 g environ. C‘est aussi une bonne couveuse qui peut couver 2 fois dans l’année. Elle élève très bien ses petits. Race très rustique, elle est toujours à la recherche de sa nourriture.
    Le plumage est gris bleuté, avec des nuances plus claires d’où son nom de coucou, par analogie avec le plumage de l’oiseau des bois, connu pour ses célèbres « coucou»
    Poids du coq : 3,5 Kg ; de la poule : 3 Kg.

    Sélectionnée à la fin du 19e siècle par le Docteur Ramé, éminent aviculteur rennais, la Coucou de Rennes est homologuée en 1914 par la création du standard officiel de la race.

    INFORMATION  

     

    Morphologie du coq :
    La tête est assez fine. La face est lisse et rouge.
    La crête est simple et de taille moyenne, les barbillons sont moyens et rouges.
    Les oreillons sont rouges, de texture fine et légèrement rugueuse. 
    Le bec est court et de couleur corne clair.
    Le cou est assez long et bien arqué, au camail abondant recouvrant les épaules.
    Le tronc est compact et large aux épaules. Le dos est long et légèrement incliné vers l’arrière.
    L’abdomen est bien développé. La queue est fournie, aux faucilles longues et larges. 
    Les ailes sont serrées au corps, les cuisses sont fortes. Les tarses sont assez longs, nus, blanc rosé, sans manchettes.

    Morphologie de la poule.

    Elle ressemble au coq compte tenu des différences sexuelles. La crête est simple et légèrement inclinée.

     

    Pour plus de renseignements vous pouvez contacter l’écomusée du Pays de rennes :
    Club national des éleveurs de volailles de races bretonnes  * Ecomusée du pays de Rennes
    Ferme de la Bintinais - Route de Châtillon - 35200 RENNES
    ecomusee.rennes@agglo-rennesmetropole.fr
    Tél : 02 99 51 38 15
    Fax : 02 99 50 68 35
    Personnes à contacter : Jean-Luc MAILLARD ou Jean-Paul CILLARD.

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  • Jolie chants d'oiseaaux et instrumental

     
    http://img.alibaba.com/photo/110568163/DAY_OLD_COBB_BROILER_CHICKS_ALL_POULTRY_EQUIPMENTS.jpg
    mes pioupious

    http://www.ua.all.biz/img/ua/catalog/1503663.jpeg
    bonne nuit!
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  • http://www.femininbio.com/sites/femininbio.com/files/styles/article_l/public/styles/paysage/public/images/2012/11/poule.jpg

    Des œufs frais et bio tous les matins ? Je dis oui ! Et si on élevait des poules sur notre balcon ?

     

    Osez la poule en ville !
    Osez la poule en ville !

     

    Elle est rousse, blanche ou noire, elle fait « côt-côt » quand elle est contente… et elle habite sur votre balcon. Une erreur ? Mais non, c’est bien une poule, et là, il est temps d’aller chercher l’œuf qu’elle vient de pondre.

    Les poules dans les jardins ou sur les balcons, c’est la dernière tendance qui ruralise un peu la ville. Venu d’outre-Atlantique, l’élevage de poules en ville connaît un franc succès en France, y compris dans les grandes villes comme Paris. La seule limite : la place disponible. Sur un petit balcon, à côté des herbes aromatiques, une seule poule trouve sa place. Mais dès que l’espace s’agrandit, mieux vaut en prendre deux ou plus : les poules n’aiment pas être seules. Avec qui caqueter ?

    Rassurez-vous, pour avoir des œufs frais tous les matins, vous n’avez pas besoin de prendre l’option « réveil matin ». Le coq n’est nécessaire que si vous voulez des poussins, et de toute façon, il n’est pas le bienvenu en ville. La poule, par contre, n’est pas plus soumise à réglementation qu’un petit rongeur. Renseignez-vous toutefois auprès de votre mairie, qui peut avoir publié un arrêté municipal sur le sujet, et auprès de votre syndic’ : pas sûr que les voisins apprécient l’odeur un peu particulière qui émanera de votre balcon !

    Si vous surmontez ces obstacles, à vous la belle vie ! Les œufs sont bien jaunes et le goût plus fort. Tout le monde voudra connaître votre secret de cuisine ! Et les poules rendent plein d’autres services. Elles se régalent de toutes les épluchures et déchets végétaux, de pain, de pâtes et bien sûr de graines et de maïs, surtout l’hiver. Une seule restriction : elles n’aiment ni les agrumes et les épluchures de pommes de terre. Evitez aussi la viande si vous ne voulez pas qu’elles deviennent agressives. Par contre, rendez-leur leurs coquilles d’œufs ou offrez-leur des coquilles d’huîtres pour qu’elles aient de beaux œufs.

    En adoptant une poule comme animal de compagnie, vous trouvez un jardinier hors pair. Si vous avez un petit carré de verdure, n’hésitez pas à les y lâcher ! Elles s’occuperont de votre jardin avec soin et de façon bien plus écologique qu’un désherbant : finie la mousse au milieu de la pelouse. De même, plus besoin d’insecticide : elles se régaleront des limaces, pucerons, et autres bestioles qui grouillent sous nos pieds.

    Et pour le logement ? Plusieurs architectes occupent déjà ce créneau. Le Belge Bernard De Jonghe, de KotKot in the city, construit de magnifiques poulaillers en bois, sur mesure et originaux. En France, Eco-Poules propose plusieurs gammes de poulaillers standards à monter soi-même. Plus haut de gamme, Pousse créative propose un Cocot'home chic et urbain.

    Convaincue ? Il ne vous reste plus qu’à acheter votre poule. Attention, ne vous trompez pas d’animal ! La petite poule longiligne est peut-être plus jolie, mais la vraie poule pondeuse est plutôt rondouillette. Elle vous donnera près de 200 œufs par an, avec une période creuse en hiver, et vit 4 à 5 ans.

    Claire Sejournet

     

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  • http://www.unitheque.com/UploadFile/CouvertureJ/9782360980543-eleverais-bien-poules_g.jpg



    Auteur : Michel AUDUREAU |

    Editeur : TERRE VIVANTE

    Collection : Facile & bio

    Année : 01/2012
    Nombre de pages : 96
    Dimension : 21 x 21 cm
    Reliure : Broché
    ISBN 10 : 2360980548
    ISBN 13 : 9782360980543

    Rayon :  
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    Quatrième de couverture


    Chercher les oeufs tout chauds au poulailler, se beurrer quelques mouillettes et savourer des oeufs coque en famille, déguster un bon poulet rôti élevé « maison » avec ses amis, se choisir des poules de race traditionnelle très belles et participer ainsi à la préservation de la diversité... 

    Plaisirs à portée de mains, économies à la clef et satisfaction d'être un peu plus autonome pour qui suit les conseils de Michel Audureau, éleveur amateur bio !
    Construire son poulailler et bien l'équiper, organiser le parcours.
    Faire les bons choix en matière d'alimentation que ce soit pour les poussins ou les adultes.
    Savoir éviter les prédateurs (rongeurs, rats, belettes, rapaces) et les maladies (coriza,
    parasitisme, etc...).
    Choisir la bonne race de poules suivant que l'on privilégie la production d'oeufs, de chair ou un mixte des deux. !

    Michel Audureau fort de ses 20 ans d' expérience en bio, de ses échanges avec éleveurs professionnels et particuliers nous accompagne dans nos premiers pas d'un élevage familial.

    BRAVO !



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